Le bout du bout ?

Par Aline
 Comment allez-vous depuis tout ce temps ? Moi, pas mal du tout. Déjà un peu nostalgique de mes congés annuels qui s'achèveront dans quelques jours : J'ai passé de magnifiques vacances dans une chaude ambiance. En effet, nous sommes partis quelques jours à l'hôtel restaurant "Le Moulin de la Pipe" situé dans les gorges profondes de l'Ombèze...ou l'Omblèze (il m'arrive de me faire des nœuds dans les noms) du côté du vert corps euh....Vercors.Entre plaisirs de bouche grâce aux spécialités locales nombreuses et variées et découvertes de jolis sites tels que (entre autres) : "Le Trou qui souffle" (bah oui, faut bien faire des pauses des fois) ou "le Jardin Zen d'Erik Borja" , nous avons bien profité de cette parenthèse glande +++++.

Au programme, juste avant de passer à table (je précise que Max n'est pas un saisonnier.)...

...Laquelle table est en accord parfait avec l'endroit 

La clé de la chambre aussi...


...Une belle pipe bien taillée dans le bois

Un hôtel restau au décor broc' trop chou où tout est pensé pour que vous soyez toujours à l'aise Blaise. Une adresse à garder précieusement pour ces périodes où le quotidien vous pèsera et que vous souhaiterez le bousculer un peu.

Sans compter qu'à 2 bornes du Moulin, vous avez une petite rando à faire pour découvrir la sublime chute de la Druise (72 mètres). 

Nous avons été subjugués par le beauté du jardin Zen d'Erik Borja. Si vous voulez de vraies belles photos, allez directement sur le site, c'est plus sûr : vous comprendrez mieux les 5 jardins en un.

Oh my god, il y a 3 plans d'eau extraordinaires dont celui-ci !

Tout l'art de la taille...


Erik Borja a ouvert son jardin à l'artiste Paca Sanchez pour une oeuvre dans son oeuvre :
« Calligraphie poétique du végétal. » (visible jusqu'au 31 août)


Je serais restée des heures à contempler ce Sophora pleurer.

          Sinon, cet été je me suis aussi interrogée sur l'intérêt de poursuivre ce blog puisque j'arrive au bout (ah ben oui, c'est la thématique du jour) des aménagements principaux du jardin et que je vous sers toujours les mêmes vues d'ensemble. Si on ajoute que mes progrès en art de la photographie laissent définitivement à désirer malgré 3 ans de pratique régulière, l'idée de stopper le massacre m'a effleurée à plusieurs reprises.
Or, aujourd'hui, en ce troisième anniversaire de Jardine et ris, j'ai finalement opté pour la poursuite...encore un peu. Ne serait-ce que pour ne pas perdre le contact avec vous toutes et tous qui participez directement ou indirectement à mes aventures jardinières. Oui, il me reste encore tant à apprendre et ces pages me lient à vous pour ce développement durable. Immense merci !
Bien à vous mes chères et chers amis-jardinautes !La Jardinière en herbe en sus