Les maisons minimalistes ne sont pas faites pour les adeptes du vide et du rien.
Bien l'inverse. Elles sont pour les bordéliques joyeux qui étalent leur petit fatras, pour les esthètes qui pratiquent la vie sans pléonasme !
Sans pléonasme ? Le vide dans le vide, les débordements décoratifs dans l'excès... Effet nul pour les décalages.
Rappelez-vous les personnages de Truffaut, un jeu atone pour dire la douleur ou la joie. Un espace libre pour les expressions et les reliefs. La vie se niche là.
De quoi imprimer... un peu de soi.